Dans la série, la fiction est plus belle que la réalité, voici : pourquoi j’ai une cicatrice dans le dos ?
Explication du 9 décembre 2014 - 009
En cette heure tardive de la nuit, j’avançai lentement sur la rue Saint-Jean. Pour la circonstance, j’avais revêtu mon costume bleu. J’avais choisi soigneusement ma cravate n’ignorant pas l’importance que cela avait dans les circonstances. Arrivé dans l’ombre de la porte Saint-Jean, j’activai le mécanisme dissimulé sous l’arche nord ce qui me permis d’entré à l’intérieur. Les ampoules de secours s’allumèrent automatiquement laissant apparaître le long escalier en calimaçon qui descendait dans les profondeurs de la haute ville de Québec. Le piège était bien ficelé. On m’avait attiré dans ce lieu en tentant de me faire croire que je serai nommé Serviteur de l’ordre du grand brochet. J’avais tout fait pour leurs laissés croire aux membres de cette organisation criminelle que leur piège fonctionnait. Courbettes et actes illégaux étaient le fardeau que j’avais dû porter pendant plusieurs mois pour qu’il me fasse enfin confiance. Malheureusement, le plan échafaudé par l’autorité de la justice dont j’étais un des gardiens fut découvert par la taupe que l’organisation de malfaiteurs payait. Mais heureusement pour moi, la taupe fut découvert et éliminé après avoir tout avoué. Arrivé au bas de l’escalier, je savais que je n’en avais pas pour longtemps à moins d’agir vite, très vite. Aussitôt que le garde se mit à me fouiller, je sortis la matraque longue et mince que j’avais dissimulée dans ma cravate. Je fis un travail parfait. Pas un cri et aucune éclaboussure. Je me dirigeai vers la porte de la salle de conférence située à peine à une dizaine de pieds. Je savais que le chef des bandits était derrière, car c’était un sadique qui voulait assister à tous les règlements de compte. J’enlever mon veston et le suspendis à la poigné de la porte.
Explication du 11 octobre 2014 - 008
Je m’éveiller dans une chambre funéraire de Vormator situé près de la grande cité d’Orginaronde sur Prama-Orgulus. Aussitôt que je bougeai une terrible douleur à l’estomac apparu suivi du haut-le-coeur habituel dû à la faim. Je me retiens pour ne pas vomir tout en m’habillant lentement. Après un rapide inventaire, je compris que j’avais plus de 100,000 dollars Moburien dans un compte accessible sur mon communicateur. En moins de deux, je pris la décision de me rendre dans un des restaurants de la métropole. En sortant dans le tunnel extérieur, je vis près des aluvis, un chauffeur de taxi accompagné de son ververs à poil long. Je lui fis signe en levant le genou gauche comme le veut la coutume. Il enfourcha aussitôt son tricycle à impulsion et fit demi-tour pour mettre le siège à ma portée. Je sautai à l’arrière entre le ververs et son maître juste après lui avoir demandé de me conduire dans un excellent restaurant. Nous partîmes à vive allure en empruntant un tunnel auxiliaire. En arrivant à destination j’oubliai de payer avant de descendre du tricycle comme le veut l’habitude. Le ververs me voyant descendre crut que je m’enfuyais sans payer et fit fouetter sa queue à ergot. J’eus à peine le temps de m’écarter et fut atteint au bas du dos ce qui me fit une belle entaille. Ne pouvant aller dans un centre de santé officiel sans être découvert je soignais moi même la plaie en sachant que j’en porterais la cicatrice pour la vie.
Explication du 22 août 2014 - 007
Ce jour-là, je devais prendre livraison d’un avion à Broken Bow au Nebraska, une ville typique, comme il en existe temps au centre des États-Unis. Le temps était idyllique et tout avait été prévu pour que rien ne dérange le planing. Soudain, j’entendis dans ma tête, la musique produite par mon cerveau qui précède toujours son apparition. J’aurais dû prévoir le coût, car lorsque je mange des légumes plus de trois jours d’affiler ça m’arrive régulièrement. Pourtant j’essaie d’en espacer ma consommation, mais je ne peux pas tout planifier. La comptine augmentait en intensité et me distrayait. Je faisais de mon mieux pour me concentrer sur la conduite du véhicule automobile et je finis par arriver à l’aéroport s’en encombre. Je demandais aussitôt à mon contact de m’indiquer un endroit tranquille pour me retirer. Il me le refusa prétextant un rendez-vous. Je savais bien qu’en fait il voulait se débarrasser au plus tôt de sa mission. J’accédé donc à sa demande. J’enfilai mon parachute puis je mis les moteurs de l’avion en route et l’engageai sur la piste de décollage. Au moment où les roues du Lancaster quittaient le sol, il fit son apparition. J’entendis nettement la phrase qu’il me répète à chaque fois qu’il surgit « Coucou c’est moi Pierre-Éliot ton ami le lapin imaginaire ». Bien que je sache que c’est une projection de mon cerveau et qu’il n’existe pas vraiment, je suis incapable de ne pas engager la conversation. Après une longue discussion sur la pertinence d’utiliser du maïs en grain plutôt que celui en crème dans le pâté chinois, le voici qui panique et me parle du problème mécanique qui va se produire dans peu de temps. Comme les prémonitions de Pierre-Éliot m’ont souvent permis d’éviter le pire, j’entreprends une vérification minutieuse de l’appareil. Sans surprise, quelques instants plus tard l’alarme retentit me prévenant qu’une fuite d’huile importante s’est produite sur les deux moteurs de droite. Une fuite sur deux moteurs simultanément, « impossibles », c’est un sabotage. À peine avais-je coupé l’alimentation en carburant sur les moteurs en problème qu’une autre alarme retenti. Voilà les quatre moteurs n’ont plus d’huile. Pierre-Éliot hurle à la mort. Je décide de quitter l’avion. Si on a saboté les conduits d’huile, Dieu sait ce qu’il y aura d’autre. Impossible d’ouvrir la porte, on l’a sans doute coincé. Ce n’est pas à l’avion qu’on en veut c’est à moi. Le temps me manque, je décide d’ouvrir manuellement la trappe qui servait au cours de la seconde mondiale à larguer les bombes. Aussitôt que je juge l’ouverture assez grande, je m’y faufile et me laisse tomber dans le vide. Une vive douleur au bas du dos me brouille les idées. Je me suis écorché les reins sur une pièce de métal du mécanisme d’ouverture. Quand je reprends conscience, mon parachute est ouvert et je descends lentement avec Pierre-Éliot accroché à mes jambes. « Encore heureux que j’aie ouvert ton parachute » me lance-t-il avec son air arrogant.Dans la série, la fiction est plus belle que la réalité, voici : pourquoi j’ai une cicatrice dans le dos ?
Explication du 25 juillet 2014 - 006
Pendant l’un de mes séjours au Tibet, j’avais accepté de rencontrer des moines pour leur enseigner ma technique de méditation. En effet, grâce à cette technique, je pouvais quitter mon enveloppe charnelle. J’avais ainsi pu, quelques années plus tôt, retrouver des otages qui étaient cachés dans une cave au Moyen-Orient. Un des soldats du corps expéditionnaire qui avait libéré lesdits otages avait parlé de moi au grand lama du monastère dans lequel il avait pris sa retraite. Bref, pour me préparer, je rejoignis ma caverne secrète sur le flanc d’une montagne situé à environ 80 km au sud-est de Lassa. En arrivant, je remarquais que les objets que j’avais laissés sur place 45 mois plus tôt avaient été déplacés. Un soupçon d’irritation, vite dissipé, passa dans mon esprit. J’avais pourtant pris soin de bien dissimuler l’entrée, mais en fins, de nos jours il est de plus en plus difficile, de garder secret, un refuge. Je m’installer donc sans préoccupation particulière. À l’aube du troisième jour, j’entendis un bruit à l’extérieur de la caverne. Tout de suite, je pensais que le troupeau de yak que j’avais vu la veille dans la vallée était venu brouter les herbes séchées non loin de mon antre. Comme je méditais déjà depuis 3 heures, je pus projeter mon esprit vers eux. Je les vis toujours au fond de la vallée. Je refis grimper mon esprit vers mon gîte. Près de l’entré, je le vis. Je ne croyais pas à son existence et pourtant il était là. Il pénétra dans la grotte et mon esprit le suivi. Mon corps allongé ne bougeait pas. Il me pensa mort. Il saisit alors un de mes pieds et il me tira à l’extérieur. Comme s’il était soudain pris d’un doute, avant de me relâcher, il souleva ma chemise pour renifler mon corps. Puis voulant sans doute tester mes réactions, il fit une entaille sur le bas de mon dos. Ne voyant pas de réaction, il me laissa tomber et retrouva dans la grotte. J’attendis quelques minutes, au cas où il reviendrait, et je réintégrai la masse de chair qui me sert de véhicule dans cette vie. Aussitôt rétablie, je courus le plus vite possible pour me réfugier vers le monastère le plus proche. Le moine-guérisseur qui recousit ma plaie reconnut immédiatement la griffure du yéti et ne comprit jamais pourquoi il ne m’avait pas dévoré parce que selon la légende il aime la chair fraiche et ne mange jamais d’animaux morts.Dans la série, la fiction est plus belle que la réalité, voici : pourquoi j’ai une cicatrice dans le dos ?
Explication du 15 juillet 2014 - 005
Comme je le fais régulièrement, lorsque je désire me détendre, je vais me baigner en haute mer. Cette année-là, j’avais choisi d’aller dans les environs de l’île Sainte-Hélène dans l’atlantique sud, histoire de visiter le musée qui est dédié à Napoléon Bonaparte. J’embraquai donc sur un petit chalutier qui venait avec tout son équipage pittoresque. Ses derniers avaient prévu de pêcher à environ 400 km au sud-sud-ouest de l’île. Arrivé à l’endroit choisi, je plongeai dans les eaux glacées après leur avoir demandé de me suivre lentement pendant mon expérience de détente. Je nageai depuis plus de quatre heures, quand je réalisé que j’étais seul au milieu de l’océan. La panique n’étant pas une option acceptable, je me remis à nager dans la direction opposée espérant retrouvé le bateau. Après 30 minutes, j’entendis le ronronnement d’un moteur. Je scrutai l’horizon à la recherche du bateau. Je vis à environ un mile deux silhouettes noires se détacher sur la mer. Elles se dirigeaient vers moi. Immédiatement, je me dirigeai vers elle. Mal m’en prit, car une des deux silhouettes était un baleinier japonais. Avec ma combinaison isothermique noire et mon surplus de poids, les baleiniers me confondirent avec un jeune baleineau abandonné par sa mère. Arrivés près de moi, ils lancèrent un harpon dans ma direction. J’eus à peine le temps de plonger. Une des lames du harpon m’effleura de bas du dos. Aussitôt, je ressentis la brulure du contact de l’eau salée sur la plaie. Au moment où je refaisais surface, je vis le second navire qui fonçait sur le premier. C’était le bateau pirate d’un groupe d’écologistes qui voulant faire cesser la chasse à la baleine m’avait, bien volontairement, sauvé la vie. Je rentrai à Amsterdam avec le bateau pirate après qu’ils eurent recousu ma plaie. Je n’ai jamais essayé de savoir ce qui était arrivé au bateau de pêcheur.Dans la série, la fiction est plus belle que la réalité, voici : pourquoi j’ai une cicatrice dans le dos ?
Explication du 12 juillet 2014 - 004
Dans ce texte, je ne pourrais pas tout vous révéler, car une partie de ce qui m’est arrivé est classée « Top secret ». Ce que je puis dire, c’est que j’avais reçu comme mission d’assassiner un des frères inconnus de l’empereur Néron. J’avais donc revêtu un costume de centurion romain avant de m’introduire dans le cylindre cryogénique de la machine à voyager dans le temps. Comme à l’habitude, je m’évanouis lors de la projection temporelle, mais un problème dont je ne puis parler ici créa une perturbation du saut. Au lieu de me retrouver aux environs de Rome en l’an 42, je repris conscience en banlieue d’Azincourt le 25 octobre 1415. Comme chacun sait, ce fut une journée horrible pour la France, mais glorieuse pour l’Angleterre. Toujours est-il que la bataille faisait toujours rage quand je réalisai que je n’étais pas au bon endroit, au bon moment. Je retirai tout ce qui rappelait l’époque romaine ce qui me laissa presque nue. Sachant que les Anglais avaient gagné, je me dirigeai sur leur flanc gauche pensant pouvoir y détrousser un cadavre pour revêtir ses vêtements et passer inaperçu pendant les 2 heures 48 minutes et 53 secondes que prendrait la procédure de récupération entreprise par les ingénieurs au vingtième siècle. Heureusement, le flanc gauche était près d’un bois. Je me dissimulai dans les fourrés en espérant que le hasard me favoriserait. Ce fut le cas, j’étais caché depuis à peine 10 minutes qu’un archer Anglais qui avait reçu un coup d’épée décida de se réfugier dans les bois pour sauver sa vie. Il arriva droit sur moi et s’évanouit juste devant les arbres où j’étais dissimulé. Je le tirai jusqu’à moi puis je revêtis ses vêtements. En vérifiant si la bataille se rapprochait de ma cachette, je tournais le dos à l’anglais tout en écartant les arbres. C’était une erreur, celui-ci reprenant ses esprits et croyant avoir affaire à un des nombreux détrousseurs professionnels qui suivent les armées saisit sa dague que j’avais laissée par terre et tenta de me frapper au milieu du dos. Heureusement, sa main tremblait toujours, mais pas assez pour qu’il ne rate son coup complètement. C’est ce qui me laissa une belle entaille au niveau des reins.
Explication du 2 juillet 2014 - 003
Du temps où j’agissais comme agent infiltré, on m’avait assigné au dossier de l’infâme pirate Vald Syrkazo surnommé aussi « le Vampire de Canaries ». Ayant gravi les échelons de son organisation jusqu’à devenir son bras droit et ayant accumulé assez de preuves pour le faire emprisonner pour au moins 1 000 ans, je décidai que je pouvais donner le signal aux forces de l’ordre afin qu’elles lancent l’assaut qui permettrait l’arrestation du « Vampire » et des membres de son organisation. Tel que convenu l’assaut eut lieu à l’aube, le lendemain du party annuel du clan. La majorité des membres, ayant trop bu la veille, étaient toujours endormis quand les premiers coups de feu retentirent. J’avais pris soin de me dissimuler dans le réfrigérateur de la cuisine qui avait une dimension respectable. Prévoyant y passer plus de 2 heures, j’y avais préalablement caché des vêtements chauds dans un coin sur la tablette la plus haute. En arrivant dans la chambre froide, je verrouillai la porte derrière moi et me dirigeait vers ma cache de vêtements. Pour mon malheur, les caisses sur lesquelles j’avais grimpé pour atteindre mon colis avaient disparu. Je décidais donc d’escalader les 20 pieds étagères à main nue. Arrivant en haut, pour attraper le paquet, je tendis le bras ce qui me fit perdre pied. En tombant, mon dos frappa un montant de l’étagère ce qui provoqua une immense douleur. En me relevant, je touchai mon dos et sentis un liquide. C’était du sang. Un clou qui dépassait m’avait entaillé le dos sur environ 6 pouces. Après m’être fait un pansement rudimentaire avec mon t-shirt, j’enfilai les vêtements d’hiver et attends les secours.
Explication du 29 juin 2014 - 002
Lors d’un de mes safaris en Afrique, je dormais paisiblement dans ma tente lorsqu’un bruit me réveilla. Celui-ci ne se distinguait pas par son étrangeté, mais bien par sa force. On aurait dit un arbre que l’on cassait. Je sortis après avoir enfilé mon pantalon et mes bottes. Tout était calme dans le camp de base. Curieusement, je semblais être le seul à m’être éveillé. Carabine à la main, je me dirigeai lentement dans la direction du bruit. Au bout de 100 mètres, je dus me frayer un chemin à travers les ronces à l’aide d’une machette ce qui révéla ma présence au tapageur. En effet de l’autre côté du bosquet, un rhinocéros à l’air peu amical me fixait sans bouger. Je m’immobilisais à mon tour tout en espérant que la bête se lasse de ma présence et reparte dans une autre direction. Malheureusement, elle chargea. Je repartis à la course vers le camp en criant espérant ainsi alerter mes porteurs et avoir de l’aide. J’entendais les pas de l’animal derrière moi qui était beaucoup trop près. J’attrapais la branche d’un arbre près duquel je passais avec l’intention d’y grimper. Au même moment, la corne du rhinocéros me frappa le bas du dos et me fit une vilaine entaille. Ce n’est que grâce à mon agilité légendaire que je parviens à grimper à l’arbre. Une fois à l’abri, je saisis ma carabine et dus me résigner à abattre la pauvre bête afin de sauver la vie des 20 personnes qui m’accompagnaient. Ils me remercièrent et me traitèrent comme un héros. Je refusais humblement ce titre en me disant que je n’avais fait que mon devoir.
Explication du 25 juin 2014 - 001
Lorsque j’étais agent secret pour une race d’extra terrestre dont je tairai ici le nom, vous comprenez sans doute pourquoi, je devais livrer un condensateur ionique à proton inverser chez un fabricant de sushi dans une des ruelles les plus sombres de Tokyo. La mafia japonaise ayant eu vent de ma mission et craignant pour leur empire du mal décida de s’approprier cette pièce d’équipement. Je n’avais pas fait vingt pas dans la ruelle que trois Ninjas sautèrent du toit des bâtiments avoisinant pour m’attaquer avec leurs sabres Katana fabriqués par le célèbre Yoshi Yamamoto. Aussitôt, un féroce combat s’amorça. Grâce à mon entrainement, je réussis à assommer le premier Ninja après avoir fait un double salto arrière inversé. Je m’emparai alors de son sabre puis j’attaquai le second guerrier qui fonçait sur moi. Pour lui couper la tête, je dus pivoter sur moi-même ce qui permit au troisième assassin de porter un coup qui aurait pu être fatal. Heureusement, mon agilité légendaire me sauva, en effet, je fis une pirouette de côté juste à temps pour éviter le pire. Malgré tout, la pointe de son sabre m’entailla le bas du dos. Après deux ou trois échanges de coups ratés de part et d’autre je parvins à lui ouvrir le ventre. Je terminai ma mission puis je dégustai les sushis au fugu que j’avais acheté sur place.
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